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l'entretien d'une guitare

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20072010
l'entretien d'une guitare

Idées fausses, idées justes sur l’entretien d’une guitare






Neuve, ma guitare était « verte », je l’ai « faite » en jouant dessus

En fait, ce guitariste n’a rien modifié de sensible. L"instrument s’est simplement stabilisé sous la tension des cordes (40 kg environ). D’autre part, en fonction de la résistance à la déformation de la table et du degré hygrométrique de l’environnement, on peut observer une modification plus ou moins heureuse de la « réponse ». II faut noter aussi que les résines, qui sèchent très lentement à l’intérieur de certaines cellules de bois de la table, peuvent opérer un collage interne de celles-ci. Dans le bois, les cellules longitudinales, ou trachéides, sont de minuscules tuyaux de quatre centièmes de millimètre de diamètre environ, reliés par des attaches plus ou moins fortes et qui constituent 90 % de la matière ligneuse de la table. Ces trachéïdes auront moins de souplesse avec des parois épaissies, solidifiées par ces dépôts, donnant ainsi moins d’amplitude aux mouvements vibratoires de la table, mais plus de caractère au son, éventuellement avec des pointes de résonance plus marquées et, hélas, moins d’homogénéité dans le niveau sonore des différentes notes. Remarquons encore que l’action des fréquences fournies par les cordes sur ces résines du bois ne peut les polymériser, les transformer. Le plus gros du spectre sonore d’une guitare classique se situe en dessous de 4000 Hz, et les quelques harmoniques plus élevés composant un La 880 Hz (17e frette du suraigu) sont encore trop bas et dénués d’énergie suffisante pour agir sur la matière résineuse. On pourrait aussi se demander si le travail mécanique appliqué à la table ne pourrait en modifier la matière. N’oublions pas que, joué d’une façon ou d’une autre, l’instrument, et spécialement sa table, est parcouru de vibrations, de frémissements intenses, de micromouvements rapides dont l’amplitude atteint un dixième de millimètre pour le Mi grave 82 Hz. Alors, comme pour un avion en fonctionnement prolongé, on pourrait théoriquement penser à une fatigue du matériau due à cette agitation, d’ailleurs combinée avec la tension permanente des cordes. Tout cela n’entraînerait-il pas un début de dislocation des cellules ? Mais, en dépit de tous ces facteurs de caractère très général, on peut dire que l’influence de la technique de jeu personnelle du guitariste paraît nulle.

Les guitares se bonifient en vieillissant

II faudrait dire, révérence parler, que « les guitaristes se bonifient en vieillissant » ! En fait, quand le musicien s’est accoutumé à son instrument, il a modifié insensiblement son jeu au fil du temps. Il s’est progressivement adapté à sa guitare. Sa sensibilité et son talent aidant, il a réellement la sensation que la guitare s’est améliorée. Quant au luthier, il lui est loisible d’entendre (en souriant) dire que si la guitare s’est améliorée, c’est par l’action du guitariste, ou au contraire que si la guitare semble devenue mauvaise, c’est nécessairement par sa faute à lui, luthier...

La sècheresse des maisons bien chauffées est dangereuse pour les guitares

C’est bien là, en effet, une des causes majeures de la ruine précoce des instrument Nous construisons personnellement nos instruments avec une hygrométrie de 55 à 60 % d’humidité pour l’air de l’atelier. En Europe, cela représente un juste milieu qui permet aux bois de se gonfler un peu (car ils sont toujours hygroscopiques dans le temps) ou de rétracter sans fractures lors d’un séjour dans un pays sec. Mais si la guitare est soumise à une atmosphère sèche artificielle, créée par le chauffage central ou par air pulsé, il faut s’attendre au pire très rapidement... en quelques jours ou quelques dizaines d’heures. La table, en premier lieu, est menacée car très mince (2 millimètres environ) et non vernie à l’intérieur ; elle offre une large prise en surface à la dessication, et elle se « tend » alors fortement, entraînant des dislocations des cellules et un grand risque de fracture. Son mode vibratoire peut alors être affecté. Le cintre transversal de la table, galbé, tend alors à s’aplatir et le chevalet s’en trouve abaissé d’autant, donnant un réglage des cordes trop bas que l’on corrige en élevant le sillet du chevalet ; ce qui accroît l’effet de torsion du chevalet, la fatigue locale de la table et une mauvaise résistance à la déformation. Dans un second temps, la touche s’abaisse à partir de la douzième frette ; le manche pourra aussi se déformer, des fentes pourront apparaître sur le fond, le vernis se ride et se « faïence ». Le signal d’alarme est le suivant : quand on constate, sur le côté du manche, que les frettes de métal dépassent sous le passage du doigt, même très peu, c’est que le bois d’ébène s’est déjà retiré assez loin sous l’action de la sécheresse et qu’il est grand temps de redonner un peu d’humidité à la guitare. A cette fin, on peut la faire séjourner dans une salle de bains où sèche du linge, mais l’action d’un humidificateur électrique puissant semble la seule solution pendant la saison de chauffage. L’achat d’un hygromètre sérieux et bien étalonné est indispensable et il faut essayer de maintenir 60 % d’humidité dans la pièce concernée. Certains concertistes méticuleux ont un petit hygromètre dans leur étui, d’autres ne craignent pas d’introduire dans la guitare une éponge qui, humidifiée et emballée dans une feuille d’aluminium, permet de corriger à bon escient le degré hygrométrique quand ils séjournent dans des pays très secs ou des lieux surchauffés. Le vernissage des guitares avec des vernis polyester ou polyuréthane au pistolet offre l’avantage de constituer une carapace, une vitrification des bois, qui se rétractent beaucoup moins vite qu’avec un vernis au tampon classique. La différence de poids de la pellicule de vernis est énorme ; quelques grammes pour le vernis au tampon à base de gomme laque naturelle, de 100 à 200 grammes et plus pour un vernis synthétique appliqué au pistolet. Une telle charge ne va pas sans modifier la sonorité ; mais elle protège, en la retardant, l’action de la sécheresse.

Une guitare non jouée se dégrade

Si la guitare ne quitte pas l’atelier de son créateur, elle a toutes les chances de bien vieillir, en subissant seulement la tension des cordes qui se traduira par une compression transversale des fibres de la table devant le chevalet et une distension derrière. On peut raisonnablement penser que, contrairement à une machine composée de pièces en mouvement, l’instrument se comporte tout aussi bien s’il n’est pas joué. Ajoutons que certains bois de table d’une même espèce, comme épicéa, sapin, Western Red Cedar, présentent une texture variable : forte s’il s’agit d’un bois de fin d’automne, formant des veines sombres, importantes, bien marquées, beaucoup plus denses et résistantes que s’agissant d’un bois de printemps, aux cellules à parois minces et souples. Ces veines dures d’automne, quand le climat et le terrain sont propices, confèrent au bois une résistance mécanique plus importante ; c’est une armature naturelle qui permet à la table de bien résister dans le temps, et donc à l’instrument de garder ses qualités. Mais le problème n’est pas si simple, car le luthier est amené à travailler ses bois jusqu’à la limite de leur résistance à la déformation. C’est à ce point critique qu’il obtiendra un instrument sensible, doté d’un son souple, ample et facile à faire vibrer. Trop épaisse ou trop barrée, la table donnera des graves pauvres (toutes choses égales d’ailleurs), qui manqueront de corps, et des aigus secs, sans moelleux. Un peu trop fine ou peu barrée, la table donnera un peu trop de graves ; on aura alors du moelleux, mais une sonorité sombre, obscure, dont la voix, dans la polyphonie, se détachera mal. De plus, l’instrument sera assez fragile, instable dans le temps, avec une sonorité « versatile », qu’il soit joué fréquemment ou non. Par parenthèses, la pratique consistant à détendre d’un ton les cordes pour la nuit n’est pas mauvaise.

L’humidité excessive de certains pays est périlleuse pour la guitare

En général, les instruments résistent mieux à l’humidité qu’à la sécheresse excessive. Les guitares étant faites « d’un peu de bois... et de pas mal de colle », les luthiers consciencieux doivent employer une colle irréversible, insensible à l’eau, pour réunir et fixer certaines pièces importantes comme les barres de fond, le barrage de table, la plaque de touche. Les colles animales traditionnelles, d’os et de nerfs, offrent peu de résistance à l’humidité des pays de bord de mer comme le Japon, Cuba, ou des contrées tropicales. De plus, leur matière même est une friandise pour certaines bactéries. L’emploi de colles irréversibles exigeant un mélange préalable avec un catalyseur avant chaque application, la loi du moindre effort fait qu’elles sont peu utilisées, d’autant que les micro-dosages nécessaires sont délicats. Mais ces colles ne cédant jamais, il n’y a pas lieu de craindre des ennuis particuliers en cas de réparation ou de fracture. Les colles vinyliques, très employées en lutherie courante, offrent une bonne résistance à l’humidité, mais une piètre résistance au glissement du collage, à sa déformation. De plus, elles sont thermosensibles et un bon « coup de soleil » à réglé la vie artistique et le sort de plus d’une guitare, même de bon prix... dont la table se retrouve sans ressort, tout le barrage ayant glissé, cédé, entraînant un vieillissement précoce vertigineux... Certains bois de table étant très hygroscopiques, l’effet de l’humidité varie du simple au triple ; on peut observer certaines boursouflures des surfaces de l’instrument dans un milieu très humide. Le guitariste sent alors que l’instrument est mou sous ses doigts, il entend une différence de sonorité qui le gêne, une réponse inhabituelle, mais tout rentre dans l’ordre, si les collages résistent bien, quand le climat redevient normal, avec 65 à 70 d’humidité.

Que faire pour bien entretenir et conserver une guitare ?

En premier lieu, essuyer la transpiration que certains guitaristes émettent en abondance, sur le manche, le fond, la table, etc. La peau de chamois enlève très bien cette sueur grasse qui ronge le vernis (cette peau devra être nettoyée, lavée de temps en temps). Aucun produit, à notre connaissance, ne permet de décrasser une guitare sans prendre de risques avec le vernis. Le vernis et les produits pour violon n’ont rien de commun avec ceux employés pour les guitares. II ne faut dont pas employer de térébentine, d’essence minérale, d’alcool, de trichloréthylène, de white spirit, de silicones, etc. Sur les instruments revêtus d’un épais vernis industriel, on peut passer une chiffon propre imbibé d’une légère solution de détergent liquide pour nettoyer manche et parties encrassées (mais attention aux rayures) et essuyer immédiatement. Quand on voyage avec sa guitare, il faut observer la règle suivante : « Là où le guitariste n’aimerait pas séjourner... la guitare ne sera pas en sécurité ». Placer l’instrument dans un coffre de voiture ou même dans l’habitacle, fenêtres fermées, est très dangereux. En été, à l’arrêt, la température monte très vite et gagne l’intérieur de l’étui qui peut rester collé à la guitare si le vernis se ramollit, et altérer les collages. L’effet de serre est à redouter même dans une maison quand le soleil frappe l’étui placé derrière une vitre (on devrait faire des étuis de couleur claire pour repousser la chaleur). Si la guitare doit aller dans des pays très froids en hiver (États-Unis, Canada, Pays de l’Est), un étui avec une housse isotherme est à recommander, car de grands écarts de température, parfois de l’ordre de 60°, peuvent provoquer une contraction brutale du bois. Si le refroidissement se fait progressivement, le risque est très limité. Évidemment, un étui isotherme est encombrant, mais efficace. Les soutes des avions modernes étant climatisées, on n’observe pas d’accidents fréquents à ce sujet.

Quelles sont les réparations classiques à l’atelier de lutherie ?

Le changement des frettes (barrettes métalliques) est un travail délicat et difficile à réussir parfaitement ; ne le confier qu’à un spécialiste très sûr quand il s’agit d’un instrument de qualité. Les revernissages sont aussi de bien mauvais moments pour la guitare. Il ne faut jamais tenter d’enlever, en raclant profondément la table, les marques diverses et rayures, avant le revernissage ; on ne doit jamais toucher au bois. Cela ferait sans doute plus bel effet aux yeux du guitariste, mais la table serait affaiblie très rapidemment et irrémédiablement, ne serait ?ce qu’en enlevant deux dixièmes de millimètre seulement ; le son serait modifié. Il faut employer un décapant chimique ou seulement poncer le vernis fatigué. De même, par respect pour le travail, l’oeuvre et l’unité que présente un bel instrument, on ne doit pas changer un fond de guitare sans raisons extrêmes. S’il y a de nombreuses fentes, il vaut mieux les réparer longuement et conserver la pièce originelle prévue par son créateur. Cette remarque vaut également pour les autres parties. Réparer, ce n’est pas amputer, c’est soigner en évitant au maximum le recours aux prothèses ...

P.-S.

Daniel Friederich
Le guide de la Guitare - Hors série Février 1980



http://www.guitareclassique.net/spip.php?article40

Commentaires

Anonymous
merci Louislouis pour ces conseils.
je passe de temps en temps du pliz pour meuble sur la guitare (à l'orange lol).c'est dangereux ou pas?
Anonymous
merci pour toutes ces informations

il est toujours bon de connaitre un peu plus son instrument


l'entretien d'une guitare 615911 Louislouis
louislouis
aguilarito a écrit:
merci Louislouis pour ces conseils.
je passe de temps en temps du pliz pour meuble sur la guitare (à l'orange lol).c'est dangereux ou pas?


Je crois qu'il faut éviter les produits pour meubles qui peuvent endommager le vernis de la guitare :

http://fr.audiofanzine.com/guitare/forums/t.12284,comment-bien-nettoyer-une-guitare.html
louislouis
louislouis
Les cordes


La transpiration oxyde énormément les cordes, diminuant ainsi leur durée de vie. Après chaque concert ou répétition, il faut passer un petit coup de chiffon sur et sous les cordes ainsi que sur la touche. Changez régulièrement vos cordes en fonction de la fréquence et conditions de leur utilisation (en général pour le classique changez 2fois les basses avant de changer le jeu complet, en profiter pour nettoyer la touche). Un jeu à tension Forte (ex : Savarez Corum Alliance Bleu) peut parfois redonner souffle à votre guitare !
La touche


Se laver les mains avant de jouer peut être le premier réflexe. Une touche ébène, palissandre n'est pas vernie, c'est pour cela qu'il faut la protéger. Elle n'est pas toujours facile à nettoyer, la sudation s'incrustant dans les pores du bois, pour cela ''le Grand Nettoyage'' 2 fois par an est nécessaire :

* Enlevez les cordes.
* Préparez dans une tasse de l'eau chaude et 3gouttes de détergent vaisselle, y plonger un chiffon coton.
* Essorez (attention, ouille, c'est chaud !) complètement le chiffon afin qu'il soit juste chaud et à peine humide, n'hésitez pas à frotter pour enlever toute la crasse incrustée près des frettes (on peut utiliser son ongle le long de la frette mais attention à ne pas rayer le bois!).
* Huiler ensuite la touche afin de nourrir et protéger le bois, le ''Must'' étant l'huile de citron (provenant du Citronnier, l'arbre, et non du fruit) que l'on peut trouver chez son luthier préféré, parfois en magasin de musique, à appliquer avec un chiffon doux, sinon le Fast Fret de GHS (un tampon) peut la remplacer - environ 7.50euros chaque - d'autres huiles sont parfois utilisées : huile de Teck, de Lin, d'Olive mais je les trouve soit trop odorantes ou grasses.
* Laisser pénétrer durant 2minutes, rappliquez autant de fois que l'huile soit bue.
* Essuyez l'excédent avec un chiffon coton qui donnera un beau fini uni et poli.

La caisse


En premier lieu, essuyez la transpiration sur le manche, fond, table, etc.�avec un chiffon doux ,chamoisine de grande surface (utilisées par toute bonne '' fée du logis'') ou une peau de chamois, cette sudation ronge les vernis, certains sont plus sensibles que d'autres : vernis au tampon, cellulosique. Ne pas passer des essences, térébenthine, alcool, trichloréthylène, white spirit, ceci pourrait endommager cette fine protection du bois. Ne pas appliquer des produits ménagers pour meubles tel Plizz qui déposent une couche de silicone empêchant toutes retouches de vernis en cas d'accident. Il faut donc nettoyer sa guitare avec des produits prévus tel les Polish (GHS, DUNLOP, MARTIN) que l'on trouve dans les magasins de musique, à l'aide d'une chamoisine en frottant de façon circulaire et lustrer avec un côté sec. Si la guitare est âgée, encrassée, nettoyez la avec le chiffon chaud peu humide et du produit vaisselle comme pour la touche, sécher avec un chiffon sec et finir avec le polish.
Les mécaniques


Sur les mécaniques à engrenages (type classique, parfois folk) vous devez ajouter quelques gouttes d'huile de machine à coudre ou afin de prolonger leur vie et précision, les tourner et rehuiler si nécessaire, le mouvement doit être fluide .
L'humidité:


Le bois est en quelque sorte une éponge, il est donc sensible à l'hygrométrie. Les instruments résistent mieux à l'humidité qu'à la sécheresse excessive, il est conseillé de garder sa guitare dans un milieu constant en température et hygrométrie entre 45 et 55% (le mieux étant de la laisser dans son étui) et de surveiller la pièce grâce à un hygromètre (digital, de 15 à 30euros dans les rayons jardineries). Trop d'humidité fera que la guitare gonfle, mais tout rentre dans l'ordre quand le temps redevient clément, le contraire est grave (en dessous de 35% le bois rétrécit , premier symptôme : on sent plus le bord des frettes qu'à la normale) puis des fissures, décollements apparaissent, c'est à ce moment là que les problèmes arrivent� Direction chez le luthier ! Une source de chaleur, luminosité directe (fenêtre, radiateur, stockage dans la voiture) doivent être évitées, ayez le réflexe ! L'hiver est une dure période pour la guitare (anticyclones qui apportent le temps sec, chauffage central qui assèche l'air) les contrastes/chocs thermiques (froid/chaud ou contraire) peut fendre vernis, table d'harmonie, décoller les joints, donc ne la bousculez pas, laissez du temps avant d'ouvrir l'étui pour qu'elle s'acclimate à la pièce . ... Et malgré tous ces conseils, vous n'arrivez pas à redonner une 2ème vie à votre ''boîte à camembert avec un manche au bout'', il ne vous reste plus qu'à la porter à votre luthier préféré et peut être nécessite t-elle simplement un peu plus d'attention et un bon réglage .

http://www.benoit-de-bretagne.com/entretien.html
Anonymous
merci bcp de tous ses conseils !!.
solar
Olé pour la transpiration j'ai vu ça, je passe un jeu de cordes par 3 semaines un moi environ en jouant 2 à 3 heures par jours et je remarque que là en plein été c'est pire mes cordes perdent vite leur couleur argenté et qu'elle s'usent beaucoup plus au niveau des frètes quand je les enlèves elles se plient à chaque marques de frètes...
Yuma
Quelle abondance de conseils ...

A suivre. Merci.
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