Plusieurs ont attribué l’origine du Flamenco au peuple gitan, mais aujourd’hui cette affirmation est désaccréditée.
En Espagne entrèrent dans les débuts du XV ème siècle, selon les recherches faites à cet effet, procédaient du nort de l’Inde et cherchaient des climas plus chauds et adaptables a sa forme de vie à l’air libre et voyager en carrosses, une grande partie resteront à Cataluña, lieu de la peninsule d’où ils croient qu’il penetrèrent en Espagne, d’autres suivront jusqu’au Sud, et la plus part d’entre eux s’installeront dans la partie occidentale, c’est-à-dire, la basse Andalousie, Seville et Cadiz.
Le fait d’affirmer categoriquement que le Flamenco n’est pas synonyme de gitan repose dans la preuve que les gitans existent dans le monde entier et cependant, le Flamenco le chantent uniquement ceux qui habiteront l’Andalousie et leurs descendants.
Le Chant Flamenco véhicule la communication de la vérité de tous ces peuples; une vérité extraite des ses réalités tragiques et qui remue la voix du chanteur « el cantaor ».
Ainsi, le couplet andalous est une influence de nostalgies et de protestes lyriques d’ethnies oprimées. Les gitans ses propagants majeurs, ça fait des siècles qu’ils répondent máximos propagadores, llevan siglos cargando a cuestas, junto con sus escasos enseres, la tradition orale et chantée de ses gents ; les arbes furent expulsés de l’Espagne en 1492 et les juifs se virent obligés à se convertir au christianisme pour échapper des persécutions dont ils faisaient objet. Dans ce cadre historique dut forgé le Flamenco et pour ceci dans le chant il y a un fonds de peine qui décrit le désenchantement des peubles depossédés.
Autre mistère non résolu est le nom du Flamenco, pour plus d’interprétations qu’il lui a été donné, on n’est pas arrivé à une vérité éminente, il y a plusieurs théories, quelques une avec plus et d’autres avec moins de logique, les hypothèses suivantes sont celles qui ont plus de crédibilité.
La hypothèse surgit du mode que le nom a été donnñe par le ave zancuda appelé Flamenco, selon Rodríguez Marín, reférencés a ceux aui « pratiquèrent le chant, robes avec veste courte, longs et attachés à la cinture, pierniceñidos y nalgisacados eran propia y pintiparadamente la vera esfingie del ave palmipeda de ese nombre”.
Carlos Almendro suit dans la même ligne de pensées étant donné que dans la Cour du roi Carlos V, notre roi flamenc, les chanteurs de capilles venaient tous des Flandes, affirmant que seulement se chantait sous forme solemnelle et pour le dire, professionnelement, résultaient logique et naturel que le peuple s’habituera à considérer le flamenco (des Flandes) comme synonyme du « conteur » et ceci coopéra à qu’entre les gens s’étendera la notoriété du Flamenco conteur et d’ici se justifie le nom Flamenco donné au chant qui fut populaire dans cette époque.
Ce qui parait probable c’est que le terme flamand a une claire racine provenciale et qui signifie tant llameante comme encendido.
Comme nous voyons il y a plusieurs versions, mais aucune avec des fondement réellement justifiés comme pour lui donner la veracité absolue.
En Espagne entrèrent dans les débuts du XV ème siècle, selon les recherches faites à cet effet, procédaient du nort de l’Inde et cherchaient des climas plus chauds et adaptables a sa forme de vie à l’air libre et voyager en carrosses, une grande partie resteront à Cataluña, lieu de la peninsule d’où ils croient qu’il penetrèrent en Espagne, d’autres suivront jusqu’au Sud, et la plus part d’entre eux s’installeront dans la partie occidentale, c’est-à-dire, la basse Andalousie, Seville et Cadiz.
Le fait d’affirmer categoriquement que le Flamenco n’est pas synonyme de gitan repose dans la preuve que les gitans existent dans le monde entier et cependant, le Flamenco le chantent uniquement ceux qui habiteront l’Andalousie et leurs descendants.
Le Chant Flamenco véhicule la communication de la vérité de tous ces peuples; une vérité extraite des ses réalités tragiques et qui remue la voix du chanteur « el cantaor ».
Ainsi, le couplet andalous est une influence de nostalgies et de protestes lyriques d’ethnies oprimées. Les gitans ses propagants majeurs, ça fait des siècles qu’ils répondent máximos propagadores, llevan siglos cargando a cuestas, junto con sus escasos enseres, la tradition orale et chantée de ses gents ; les arbes furent expulsés de l’Espagne en 1492 et les juifs se virent obligés à se convertir au christianisme pour échapper des persécutions dont ils faisaient objet. Dans ce cadre historique dut forgé le Flamenco et pour ceci dans le chant il y a un fonds de peine qui décrit le désenchantement des peubles depossédés.
Autre mistère non résolu est le nom du Flamenco, pour plus d’interprétations qu’il lui a été donné, on n’est pas arrivé à une vérité éminente, il y a plusieurs théories, quelques une avec plus et d’autres avec moins de logique, les hypothèses suivantes sont celles qui ont plus de crédibilité.
La hypothèse surgit du mode que le nom a été donnñe par le ave zancuda appelé Flamenco, selon Rodríguez Marín, reférencés a ceux aui « pratiquèrent le chant, robes avec veste courte, longs et attachés à la cinture, pierniceñidos y nalgisacados eran propia y pintiparadamente la vera esfingie del ave palmipeda de ese nombre”.
Carlos Almendro suit dans la même ligne de pensées étant donné que dans la Cour du roi Carlos V, notre roi flamenc, les chanteurs de capilles venaient tous des Flandes, affirmant que seulement se chantait sous forme solemnelle et pour le dire, professionnelement, résultaient logique et naturel que le peuple s’habituera à considérer le flamenco (des Flandes) comme synonyme du « conteur » et ceci coopéra à qu’entre les gens s’étendera la notoriété du Flamenco conteur et d’ici se justifie le nom Flamenco donné au chant qui fut populaire dans cette époque.
Ce qui parait probable c’est que le terme flamand a une claire racine provenciale et qui signifie tant llameante comme encendido.
Comme nous voyons il y a plusieurs versions, mais aucune avec des fondement réellement justifiés comme pour lui donner la veracité absolue.